Entre le bijoutier de Nice, Frigide qui cherche des amis,
GTA et Sophia Aram, une singulière information a émergé de la toile ces
derniers jours : les cours de fellation en Russie.
Tout à fait.
Si vous êtes passés à côté : moyennant 85 euros, un
petit groupe de femmes s’est vu apprendre à mettre correctement en bouche le
sexe masculin. À l’aide de pénis en plastiques munis d’une ventouse, elles ont
pu expérimenter la chose debout, assise ou allongée (les techniques
diffèrent !) mais aussi apprendre à toucher leur propre jardin secret
grâce à un vagin en plastique également. Une très élégante dame en bleu (voir
photo) nous montre qu’il faut apparemment frotter le barreau, voire le
frictionner. Des experts se penchent encore sur le sujet pour confirmer la
véracité de la leçon.
via |
Bref, forcément, ça m’a donné des idées. Voici en
exclusivité le petit manuel à l’usage des suceuses débutantes et/ou
réfractaires. Je précise bien qu’il ne s’agit pas là de guide ultime de
connaissances puisque, n’ayant pas la prétention de pratiquer parfaitement la
chose, je crois, de plus, que la technique universelle n’existe pas. Je vous
prie également de ne pas (trop) prendre cet article au sérieux et de vous
pluger sur le 2nd degré (on parlera d’ailleurs de plug un autre
jour).
Enfin, souvenez-vous que chaque homme est un être humain, sensible, fragile et souvent muni de sentiments et qu’il faudra toujours adapter votre jeu de langue à sa personnalité unique. Voilà, ça c’est fait (cette phrase était destinée à repousser les commentaires des Menen).
Enfin, souvenez-vous que chaque homme est un être humain, sensible, fragile et souvent muni de sentiments et qu’il faudra toujours adapter votre jeu de langue à sa personnalité unique. Voilà, ça c’est fait (cette phrase était destinée à repousser les commentaires des Menen).
Petit manuel à l’usage des suceuses réfractaires (d’abord) puis débutantes (ensuite).
1.
Si vous êtes réfractaire, demandez-vous d’abord
pourquoi (viol, opération de la bouche, traumatisme porno ?). Faites
ensuite un travail sur vous-même pour chasser cette inhibition car à moins que
vous tombiez sur un des 3% d’hommes qui n’aiment pas ça, sachez que les 97%
restants n’aiment pas « simplement » ça, c’est bien plus fort, cela
peut être une cause réelle de rupture ou de non engagement (j’ai des
témoignages).
2.
Essayez de prendre les choses en main (bouche)
avant qu’il vous le demande*. Si vous êtes déjà gênée à la base, ça ne fera que
s’amplifier si pression il y a.
·
Demander à être sucé est un concept pouvant
s’avérer très variable selon le mâle. Entre ceux qui le formulent simplement et
ceux se tortillent du bassin tout en vous caressant soudainement très fort le
haut du crâne, dans tous les cas, on comprend toujours. Plus de communicationcorporelle ici.
3.
On n’est pas chez Dolto mais si vraiment blocage
il y a, bien sûr, parlez-en. Il sera d’autant plus encourageant et
reconnaissant au moindre effort ou essai. Et puis il ne tentera pas de vous
étouffer dès la première minute. C’est ça l’avantage du novice :
indulgence et bienveillance. Héééééé ça peut être aussi une idée même si vous
n’êtes pas novice du tout. Comme ça il sera vraiment épaté par votre
prestation.
4.
Dites-vous que ce n’est pas sale, que l’homme
s’essuie toujours le bout du gland lorsqu’il a fini d’uriner.
5.
Oubliez les pornos (mais pas complètement non
plus), un va-et-vient rapide,
plus-profond-tu-t’étouffes-d’ailleurs-tu-t’étouffes et les yeux de bi(t)che
écarquillés, ce n’est pas forcément la formule idéale. La lenteur est acceptée,
la douceur ainsi que le respect de soi aussi.
6.
J’insiste sur la lenteur. Car si vous débutez,
il vaut vraiment mieux ne pas y aller trop fort. Dites-vous qu’une simple et
légère pression au bon endroit lui fera plus plaisir qu’un dérapage de dents
parce que vous aurez voulu trop bien faire. Mieux vaut prendre son temps,
quitte à faire des pauses pour réfléchir, prendre des notes ou des photos.
7.
Soyez à l’écoute du moindre frémissement. Si il
a mal, il vous éjectera. Chaque bruit est donc un bon signe.
8.
N’oubliez pas votre main, votre téton, votre nez
ou votre pied ou n’importe. La créativité est toujours saluée (et donc oui il
vaut mieux avoir un petit coup dans le nez). Rappelez-vous aussi que ce qui se
passe au lit…reste au lit. Je parlais de bulle à part ici d’ailleurs.
9.
Ne vous cachez pas toujours derrière vos
cheveux, dans son ventre ou sous la couette. Le plaisir du mâle passe beaucoup
par la vue.
10. Enfin,
si votre but est de lui procurer de la joie, de l’extase et de l’amour, ça
marchera forcément. Il ne faut pas que ce soit une bonne action, ce sera
assurément moins agréable. Car ça peut (et ça doit) l’être pour vous
aussi ! Un savant mélange d’énergie, de signaux et de réciprocité.
Bonne chance |
Et alors parce que 97% des hommes aiment, les filkes doivent aimer et pratiquer.depuis quand la pipe est elle obligatoire.? J aime pas , je deteste meme, pour moibla fellation est une horreur.je ne compte pas aller consulter pour autant, me forcer a faire ca, surmonter mes blocages.je suis prete a rien pour un homme, alors les 97% restants , je me fiches de leurs preferences.s ils aiment tant ca, ils n ont qu a essayer l autofellation, le bois de boulogne, le sauna .les femmes sont vraiment prises pour des p.
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