NB Cette théorie du chaos très sérieuse m'a été expliquée par Babou. Donc voilà c'est dit, copyright Babou.
Dans la vie, il y a les chats et les chiens. La métaphore peut paraître hâtive mais vous verrez qu'elle peut aller très loin.
Les chats se reconnaissent entre eux d'un simple regard. Les chats souffrent beaucoup plus que les chiens, bien qu'ils retombent souvent sur leurs pattes. Pourquoi souffrent-ils ? Car ils prennent des risques, montent sur des branches, attrapent des oiseaux, ils n'ont pas peur mais réfléchissent beaucoup. C'est peut-être bien ça leur problème : ils se posent trop de questions, se remuent les méninges, craignent l'eau mais la goûtent quand même. Ils sont parfois un peu vicieux et intéressés mais quand ils aiment, ils ne comptent pas. C'est tout où rien. Et c'est quand ils veulent, si ils veulent. Personne ne force un chat à faire quelque chose. Le chat a toujours raison et est un peu susceptible.
mardi 25 juin 2013
jeudi 20 juin 2013
On veut des couilles !
Et du cul !
Que se passe-t-il chez nos amis testostéronés ? Le sont-ils encore ? Loin de moi l’idée de faire un pamphlet féministe à 3 euros et 12 centimes, mais je m’insurge un tout petit peu.
Le cliché voudrait que les femmes soient indécises et les hommes d’une simplicité presque bestiale. Or, j’observe une inversion des rôles. Bien sûr, mon microcosme ne résume pas la Terre entière, mais j’ai assez de témoignages pour m’en plaindre (oh oui c’est bon de se plaindre).
Femme veut,
homme doute.
Femme sait,
homme hésite.
Femme avance,
homme stagne.
Femme parle,
homme pense.
mardi 18 juin 2013
Ottoroute à bonheur et procrastination au profit de socialisation
J’avais envie de faire une pause, enfin plutôt, je DEVAIS
faire une pause, mais rien à faire, ça me démange. Chaque moment consacré à ne
pas écrire sur ce blog n’est pas du tout utilisé pour écrire mon mémoire, comme
initialement prévu.
Les tâches ennuyeuses remises au lendemain, voire au mois
prochain, ça vous parle certainement, non ? Le joli mot qu’est
procrastination conviendrait parfaitement. C’est la première et dernière fois
que je l’utilise parce qu’il m’énerve un peu. Les gens l’utilisent tout le
temps, comme s’ils étaient contents de dire un mot « compliqué » ou
« savant » pour décrire leur propre comportement qui va à l’encontre
de l’image dégagée par l’emploi de ce mot, vous me suivez ? Genre
« je suis un branleur, mais c’est pas grave vu que j’utilise un mot
intelligent ». Ça dédouane presque de l’exécution des tâches.
lundi 10 juin 2013
Marie, TU DORS !
Retour d’une galaxie spatio-temporellement floue et riche.
Tout a commencé vendredi avec un apéro aux Tuileries, face à
l’obélisque de la Concorde : assiégés au bord d’une fontaine, le rosé et le
cidre coulaient pendant que le soleil se couchait, tel un pied de nez à notre
future longue journée.
Arrivée ensuite à l’Electric, au dernier étage du parc des expos à
la porte de Versailles. Terrasse géante, vue panoramique, baies vitrées à
l’intérieur, tour Eiffel et arène dansante. Ricardo Villalobos était en
forme : moins de drogues, plus de clins d’œil. Réaction aux rappels
positive, lever de soleil magique, ambiance coton et sourire.
Après un
café-Bailey’s au parc André Citroën et une courte pause resto, c’est déjà
l’heure de l’opening de la Blue à Aubervilliers. Bon, j’arrive après le soleil,
avec l’orage qu’on nous promettait mais qui ne s’est jamais pointé (une
chance !). Seulement 3 gouttes et tout de même un beau coucher de soleil.
Le rooftop était agréable, belle musique, changeante au gré
du vent. De douces et innovantes boissons avec un joli packaging en alu nous
ont ravis (mention pour la vodka gingembre guarana). Les poufs ont accueilli le
feedback des heures précédentes avec Cupichon, mes sourires accueillaient des
retours et le ciel a fini par accueillir la nuit.
jeudi 6 juin 2013
Conclusions sociales hâtives
- Les gens qui regardent les autres gens de la tête aux pieds
tout le temps ne se sentent pas bien dans leur peau.
- Les gens qui repassent leurs jeans et leurs taies d’oreiller
sont psychorigides.
- Les gens qui grincent des dents se posent trop de questions.
- Les gens qui s’aiment eux-mêmes tombent plus facilement
amoureux.
- Les gens intelligents sont plus malheureux.
- Les gens qui serrent la main des autres gens sans les
regarder dans les yeux ne sont pas sûrs d’eux.
- Les gens qui ne peuvent pas faire plusieurs choses à la fois
mentent moins. (Oui, ça veut dire que les filles sont des menteuses).
Les gens qui aiment manger sont forcément des gens biens |
mardi 4 juin 2013
La drogue, c'est mal et l'hypnose, c'est bien
Quand je pensais à l'hypnose avant, l'image que j'avais était uniquement nourrie des shows télévisés où le mec claque des doigts pour endormir 40 personnes en même temps. Et j'étais really sceptique. Aujourd'hui, tout a changé. J'ai rencontré une troupe de magiciens-mentalistes-hypnotiseurs-professionnels et tous ces farfadets mystiques m'ont expliqué en quoi ça consistait, comment ça marchait et pourquoi c'était génial.
Intriguée au début, je restais a little bit sceptique, j'avais peur que ces farfadets rentrent dans mon inconscient et lui fasse dire des choses enfouies que j'avais pas envie de désenfouir.
Mais la magie avait déjà opéré, depuis le jour où ils m'en ont parlé, je n'ai cessé d'y penser, comme si j'étais déjà hypnotisée par le concept lui-même. Ils me disaient être capables de donner des orgasmes fabuleux rien qu'en touchant l'omoplate du petit doigt ou encore d'avoir l'impression d'être en train de voler.
Intriguée au début, je restais a little bit sceptique, j'avais peur que ces farfadets rentrent dans mon inconscient et lui fasse dire des choses enfouies que j'avais pas envie de désenfouir.
Mais la magie avait déjà opéré, depuis le jour où ils m'en ont parlé, je n'ai cessé d'y penser, comme si j'étais déjà hypnotisée par le concept lui-même. Ils me disaient être capables de donner des orgasmes fabuleux rien qu'en touchant l'omoplate du petit doigt ou encore d'avoir l'impression d'être en train de voler.
lundi 3 juin 2013
10 formules magiques pour le faire débander
Mais pourquoi, me direz-vous? A priori, si il bande face à vous, certaines étapes ont déjà été passées et à moins d'être super schyzo ou super faible (ce qui peut arriver aussi), vous n'avez pas envie qu'il débande. Alors disons que ce sont les formules À ÉVITER. Mais c'était moins joli dans le titre.
1. "Tiens, par contre j'ai que des capotes XL, ben ouais, c'est mon ex, il pouvait pas en mettre d'autres..."
2. "On peut éteindre la lumière?" (L'homme est visuel. Forcément, il a beaucoup moins de capteurs sensoriels que nous, faut ki zieute).
3. "Attends, tu peux arrêter steuplai, sinon ça va recommencer à me gratter!"
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