Bon, quand est ce qu'on baise ?

Parler de cul, ça met tout le monde d'accord et même si ce n'est pas mon but (de mettre tout le monde d'accord), c'est quand même plus sympathique. Prochainement, je parlerai de tensions fleuries et de contenus exclusifs de Cupichon (stay tuuuuned).

Voilà pour la préface/conclusion.

Bon, quand est ce qu'on baise donc ?

- "Je n'ose pas, je t'aime trop"

Hors-sujet.
Le sexe est une bulle à part. Tout y est permis. Les rôles peuvent s'échanger, disparaître et une fois à table, tout rendre dans l'ordre.

Ce n'est pas parce que tu me tires un cheveu que je ferais la vaisselle. Ce n'est pas parce que je t'ai mordu que je vais te promener en laisse demain dans le parc. Enfin bref, vous voyez quoi.

Le frêle équilibre réside dans le respect. Car si vous nous respectez trop, c'est chiant, et pas du tout, on aimera pas. Ah oui j'ai pas dit que c'était simple. Qu'il y ait de l'amour ou pas, ce flux tendu est possible à respecter (justement). Il faut juste un peu de jugeote et de culot. N'attendez pas qu'elle vous dise ce qu'elle aime sans rien faire, elle vous dira bien plus facilement ce qu'elle n'aime pas. Malheureusement, la communication sur l'oreiller c'est pas toujours ça (comment dire Waouh, remember ?) alors il vaut mieux oser. Et si il s'agit de cire de bougie ou de graviers, mieux vaut prévenir quand même, ça peut surprendre.

Ca me fait penser à ce reportage qui avait fait le buzz il y a quelques années ; il présentait le témoignage (flouté) d'une jeune femme tenant des propos hyper cash du type "j'aime me faire baiser comme une chienne et j'assume" (enfin avec du floutage). Tout le monde s'était offusqué. Allez, ne soyez pas farouches, en gros c'est ça ! (engrossez ça)

Et Choisy-sa-peine

Si vous vous aimez, aimez moi aussi là !